Déjeuner à la cafétéria de Hearst 12h30
Mac et Wallace se trouvaient à une table, et Veronica les rejoignait quand elle fut stoppée par Piz.
Veronica : Piz !
(Dit-elle d’un ton sec)
Veronica (voix off) : J’ai réussi à l’éviter pendant une semaine et à filtrer ses appels et voilà que je tombe sur lui! Génial! Je ne suis peut-être pas aussi forte que ça, tous comptes faits !
Piz : Veronica !
Il y eut un blanc, aucun des deux n’osait parler, elle était trop gênée et quant à lui, il avait peur de se faire rejeter. Veronica commença à le contourner puis Piz prit son courage à deux mains pour lui parler et lui attrapa le bras, elle fit demi-tour sur elle-même.
Piz : Tu m’évites ? Car c’est peut-être qu’une impression, mais je crois vraiment que tu m’évites. Alors je ne sais pas ce que j’ai pu te faire, mais j’aimerais vraiment que tu me le dises car je suis perdu sans toi, tu es … tu es comme ma muse ! Tu es mon idéal, tu es tout pour moi et je n’ai pas envie de te perdre
(dit-il à une vitesse folle ! Il reprit son souffle ; ils se regardaient les yeux dans les yeux)
Veronica (voix off) : Là ma vieille, tu es dans la m**de !! Et c’est peu dire… Regarde comme il est mignon et il est tellement gentil ; et lui, au moins, il n’a pas couché avec ta pire ennemie ! Qu’est-ce que je vais dire ? Qu’est-ce que je dois dire sans faire une gaffe qui pourrait me le faire perdre à jamais ? Mac et Wallace regardaient la scène avec stupéfaction.
Veronica : Ecoute je… euh je... Je ne sais pas quoi te dire !
(Baissant les yeux et détournant son regard) Par chance, elle fut interrompue par un officier de police qui, d’ailleurs, se trouvait être Léo, son ex, qui courait vers elle.
Léo : Veronica, par miracle, tu es là !
(Dit-il essoufflé de l’avoir cherchée sans relâche dans l’enceinte de l’université) Veronica : Léo ? Mais qu’est-ce que tu fais ici ??
Léo : Y a un problème avec ton père ! Il a de sérieux ennuis Veronica, de très gros ennuis !
Veronica sentit le sol s’effondrer sous ses pieds, son regard croisa celui de Piz puis celui Léo. Puis elle fut prise d’un vertige.
Générique A long time ago, we used to be friends
But I haven't thought of you lately at all
If ever again, a greeting I send to you,
Short and sweet to the soul is I intend.
a, ah-ahh-ahh-ahh
a, ah-ahh-ahh-ahh
a, ah-ahh-ahh-ahh
a, ah-ahh-ahh-ahh
Come on now, honey,
bring it on, bring it on, yeah.
Just remember me when you're good to go
Come on now, sugar,
bring it on, bring it on, yeah.
just remember me when.
It's something I said, or someone I know.
Or you called me up, maybe I wasn't home.
Now everybody needs some time,
and everybody know
The rest of it's fine
And everybody knows that.
Come on now, sugar,
bring it on, bring it on, yeah.
Just remember me when you're good to go
Come on now, honey,
bring it on, bring it on, yeah.
just remember me when.
We used to be friends a long time ago.
We used to be friends a long time ago.
We used to be friends a long time ago.
We used to be friends, hey
hey....